Un couloir, qui mène à un escalier, qui mène à d'autres escaliers. Bien loin dans ce dédale, des cellules, sombres, humides, certaines pleines de gens. Des vivants, des morts, des vivants qui devraient être morts.
Là, les hommes et les femmes considérés comme génants sont emprisonnés ... Souvent torturés ... Toujours tués ....
On attend parfois un rale mais le plus souvent ce sont les rires gras des gardiens qui se moque de la misère de leurs prisonniers ou bien rajoute à leur souffrance.
Là finissent ceux qui sont trop libres pour la ville devenue prison.